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Channel: Actualités du Groupe IONIS - IONIS EDUCATION GROUP
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Le Prix Transmission des Savoirs 2017

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Chaque année depuis 2008, la Fondation de l’entreprise Deloitte remet différents prix à des projets étudiants à vocation sociale ou humanitaire afin de les soutenir et les pérenniser. Le mardi 30 mai, elle a ainsi organisé une grande cérémonie afin de distinguer les lauréats du Prix de la Fondation Deloitte 2017. Les Journées Synergiques font partie des huit projets récompensés : cette initiative portée par l’association Synergie de l’EPITA et destinée à faire découvrir gratuitement aux collégien(ne)s le vaste monde de l’informatique remporte le Prix Transmission des Savoirs, accompagné d’une dotation de 1 500 euros. Ce prix a été remis par Maryse Degboé, fondatrice de gardedenfantspourtous.fr, Marie Morellet, consultante RH chez Mozaïk RH et les représentants de l’association Ahmed & Adèle.

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Une partie de l’équipe de Synergie était présente pour recevoir ce prix
De gauche à droite : Elise Schravendeel (EPITA promo 2018), secrétaire de l’association, Bérengère Bouttier (promo 2019), présidente et Thibaut Pagerie (promo 2018), trésorier.


epita_retour_prix_fondation_deloitte_prix_transmission_savoirs_association_synergie_journees_synergiques_2017_02.jpgTrois questions à Bérengère Bouttier, présidente de Synergie

Quel est votre sentiment après l’obtention de ce Prix Transmission des Savoirs ?
C’est un immense honneur de recevoir un tel prix, d’autant plus que Deloitte est l’une des plus grandes entreprises françaises d’informatique et d’audit. Nous sommes extrêmement fiers car le projet des Journées Synergiques a commencé il y a seulement un an. Aujourd’hui, avec ce prix, nous pouvons voir le fruit de notre travail. En plus, Deloitte nous a confié vouloir suivre notre projet par la suite. Cela fait vraiment super plaisir !

Ce prix s’accompagne d’une dotation. Que va vous permettre cette somme ?
D’améliorer encore les futurs Journées Synergiques ! Pour l’instant, nous proposons principalement des ateliers tournés vers la programmation. Cet apport financier nous permettra d’acheter du matériel afin d’offrir aux jeunes participants l’occasion de programmer d’une autre façon, en ayant la possibilité de voir directement ce qu’implique leur travail fait via le langage Python.

Comment allez-vous procéder ?
Nous pensons à nous procurer des petits robots, comme des Mindstorms par exemple, mais aussi des cartes Arduino, des drones, etc. Le but, c’est de proposer des ateliers toujours plus ludiques ! D’ailleurs, nous allons prochainement commencer à préparer la prochaine saison des Journées Synergiques, celle actuelle se terminant le samedi 17 juin avec une édition consacrée à l’intelligence artificielle.

Suivez Synergie sur synergie.epita.fr/js, Facebook et Twitter.

epita_retour_prix_fondation_deloitte_prix_transmission_savoirs_association_synergie_journees_synergiques_2017_04.jpgepita_retour_prix_fondation_deloitte_prix_transmission_savoirs_association_synergie_journees_synergiques_2017_03.jpgGuilène Bertin-Perri, secrétaire générale de la Fondation d’entreprise Deloitte, animait cette cérémonie

epita_retour_prix_fondation_deloitte_prix_transmission_savoirs_association_synergie_journees_synergiques_2017_05.jpgLe comédien Jérémy Ferrari était présent pour retracer son parcours devant un public majoritairement composé de lycéens et d’étudiants

epita_retour_prix_fondation_deloitte_prix_transmission_savoirs_association_synergie_journees_synergiques_2017_06.jpgMaryse Degboé

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Découvrez les deux teasers du Hellfest

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Les 16, 17 et 18 juin 2017, Clisson accueillera la 12e édition de l’un des festivals de musique majeurs en France comme en Europe : le Hellfest. En amont de l’événement, e-artsup Nantes a monté un partenariat nommé Motion Meets Metal avec les équipes du festival. Le but ? Permettre à une douzaine d’équipes étudiantes réunissant les 1res, 2es et 3es années du campus nantais de se pencher sur la réalisation de trailers vidéo destinés à promouvoir la nouvelle édition de ce grand rassemblement. Après plusieurs semaines de workshops et une projection spéciale organisée le 6 avril dernier au cinéma Katorza à Nantes (en partenariat avec l’Absurde Séance), e-artsup est fière de vous dévoiler les deux teasers primés à l’issue de cette première collaboration avec le Hellfest : « Hellriders » et « Rédemption », respectivement Prix du Jury et Prix du Public.

Réalisé par : Arthur Albertson (promo 2019), Raphaël Ecorse (promo 2021), Valentin Grimoux (promo 2020), Axel Horel (promo 2020) et Nastassia Pelé (promo 2020). Affiche réalisée par Raphaël Ecorse.

Réalisé par : Bérénice Freuchet (promo 2021), Joffrey Lamirault (promo 2019), Alexis Leray (promo 2020), Alexandre Moal (promo 2020) et Agathe Nédélec (promo 2020).

Mardis de l’ingénieur : les usines du futur sont déjà là

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Pour son dernier Mardi de l’ingénieur de la saison 2016-2017, l’ESME Sudria Paris invitait Didier Pagnoux, CEO du World Class Center IoT d’Altran, le leader mondial du conseil en innovation et ingénierie avancée, pour une conférence consacrée aux usines du futur. L’occasion pour les futurs ingénieurs de l’école de se plonger dans ce qui sera bientôt leur quotidien, dans un environnement révolutionné et optimisé par les nouvelles technologies.

retour_conference_usine_futur_esme_sudria_paris_mardis_ingenieur_world_class_center_iot_altran_2017_01.jpgD’après Didier Pagnoux, l’avenir serait déjà là, prêt à bouleverser le monde tel que nous le connaissons. « Nous sommes face à un contexte de transformation extrêmement important des entreprises : cela va changer nos vies et les métiers de demain. » Pour lui, cette « industrie de demain » où la langue dominante sera « l’anglais » est la conséquence directe de la quatrième grande révolution industrielle, après l’émergence de l’énergie à vapeur, l’importance grandissante de l’électricité et l’essor d’Internet.

La dynamique du marché
Selon le professionnel, le marché du monde de l’industrie est conscient de ce qui se trame et des changements à venir. « Par le passé, la mondialisation a transféré des masses d’argents énormes entre les continents, sauf qu’aujourd’hui, le coût du travail tend à devenir équivalent dans les pays développés ou en cours de développement. Désormais, un ingénieur télécom chinois « coûte » le même prix qu’un ingénieur français ou américain. La vague des emplois à haute valeur ajoutée considérés comme moins chers est en train de se tarir. Les entreprises cherchent donc d’autres sources afin de rentabiliser leur productivité et baisser leurs coûts et donc gagner en compétitivité. » Pour Didier Pagnoux, ce gain de compétitivité passe par des investissements importants dans différentes technologies. Ainsi, cette industrie 4.0 représente aujourd’hui dans le monde 900 milliards de dollars par an d’investissement (près la moitié du PIB annuel de la France). Un chiffre qui devrait atteindre les 4,5 billions d’ici 2020. « Les gens n’investissement pas autant d’argent dans cette transformation sans raison valable. Prenons par exemple le cas de la data : on estime à 400 milliards de dollars les gains de productivité avec la manipulation des données ! » À ses yeux, la révolution de l’industrie manufacturière passera principalement par l’adaptabilité. « L’usine de demain sera capable de faire un jour des voitures, le lendemain des vélos, le lendemain des pièces d’avion, etc. Les usines qui répètent des productions identiques en grand nombre n’existeront plus. »

retour_conference_usine_futur_esme_sudria_paris_mardis_ingenieur_world_class_center_iot_altran_2017_02.jpgL’ère des robots et de l’impression 3D
Autre point fort de cette révolution qui « touchera tous les secteurs industriels », la robotisation. « Ce n’est pas une nouveauté, mais on va se diriger vers beaucoup plus de robots, toujours plus intelligents et polyvalents. Demain, la plupart des usines seront entièrement robotisées. Certaines le sont déjà : j’ai ainsi audité récemment une centrale photovoltaïque possédant zéro employé ! » L’expert n’oublie pas non d’aborder une autre approche au cœur de cette révolution économique et technologique : la fabrication additive. « C’est un véritable changement de paradigme et les progrès réalisés en l’espace de cinq ans sont tout simplement énormes ! Aujourd’hui, on est capable d’imprimer des pièces en métal extrêmement précises. Le 3D Printing change la chaîne de production et la logistique. Le transfert de métier est donc complet – on passe du tourneur fraiseur à l’ingénieur manipulant des équipements de CAO – et l’impact réel, comme pour les entreprises aéronautiques. On assistera bientôt à la fin des usines immenses utilisées et pensées pour produire beaucoup de pièces afin de rentabiliser des coûts de logistique extrêmement élevés. Désormais, un avion peut envoyer des messages durant son vol afin que les équipes présentes sur son lieu d’atterrissage puissent imprimer les pièces à remplacer sans avoir à les commander ! Avec la fabrication additive, on se dirige vers des petites usines mobiles capables de construire des pièces vite et rapidement. De ce fait, l’industrie de demain sera plus petite et beaucoup moins capitalistique qu’aujourd’hui. » De quoi imaginer un basculement des forces : certains grands noms actuels, obligés de se transformer, pourront alors se retrouver en concurrence directe avec de nouveaux acteurs émergents qui compenseront un manque de moyens par plus de créativité et d’audace. De même, il ne serait pas étonnant de voir des pays jusque-là absents de l’échiquier industriel mondial se développer à grande vitesse. Les cartes seront alors rabattues.

Le futur est déjà là
L’usine du futur mutera également avec l’intégration d’autres technologies qui, pour la plupart, existent déjà. « Les choses bougent par gain d’intelligence et de performance. Demain, les outils comme les opérateurs seront ainsi tous connectés à travers le monde. Il y aura également une place importante réservée à l’intégration du virtuel avec le réel, avec en première inspiration le jeu vidéo. Dans le futur, tout ce qui existe physiquement – avion, voiture, centrale thermique, etc. – aura son « jumeau digital » sur lesquels les gens travailleront en amont. Cela représentera un gain de coût énorme, réduisant de près 80 % le coût de l’apprentissage ! » Face à ces ensembles connectés, impliquant une augmentation sans égal des données, l’industrie devra également intégrer les smart technologies (Machine Learning, intelligence artificielle) pour suivre les cadences imposées.

Convaincu que des emplois vont être générés par cette transformation, Didier Pagnoux concluait son intervention en citant quelques-uns de ces « jobs 4.0 » auxquels pourront logiquement prétendre les futurs ingénieurs de l’ESME Sudria. Pour lui, les entreprises du futur seront celles des Computer System Analysts, Information Security Analysts, Data Scientists ou encore des Operation Research Analysts. Le point commun de tous ces métiers ? Ceux qui les occuperont devront se réinventer en permanence. « Les ingénieurs de demain devront acquérir de nouvelles compétences, changer de pays et d’employeurs tous les 3-5 ans ! En effet, il faut bien avoir en tête que l’advanced manufacturing n’est pas une question de technologie, mais de mentalité. »


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VivaTechnology 2017

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Rendez-vous mondial, VivaTechnology s’est imposé comme l’un des événements incontournables de l’innovation. IONIS Education Group y sera présent pour sa deuxième édition, du 15 au 17  juin, sur un stand unique (B20  – espace Accelerate) pour mettre en avant l’éducation et l’innovation, symbole fort du Groupe et de ses 23 écoles et entités.

Si le Groupe IONIS est devenu la première institution de l’enseignement supérieur privé français, avec près de 25 000 étudiants, c’est en grande partie grâce à ses écoles technologiques. Sur son stand, seront présentés une trentaine de projets d’étudiants et d’Anciens (EPITA, Epitech, ESME Sudria, IPSA, Sup’Biotech, ETNA, ISG…),

Des temps forts permettront également aux professionnels (grands comptes, startuppers, journalistes, influenceurs, Anciens…) de se retrouver sur le stand du Groupe IONIS pour découvrir ou en savoir plus sur plusieurs start-ups. Un espace networking aménagé pour l’occasion recevra des entrepreneurs qui pitcheront en quelques minutes leur projet. L’objectif de ces temps forts est de favoriser l’échange avec les personnes présentes et de réfléchir ensemble à demain.

 

 

Voici le programme détaillé du stand IONIS Education Group :

 Jeudi 15 juin

Toute la journée

  • Espace Incubator : Witick (application mobile permettant d’acheter et d’utiliser un ticket de transports en commun sur son téléphone. L’utilisateur achète un titre en 1 clic puis approche son smartphone de la borne pour valider son ticket), Estimeo (Estimeo note les start-ups et projets innovants de manière automatique et algorithmique en se basant sur des critères financiers et extra-financiers) et Incarna (à la croisée du cinéma, de l’escape Game et du jeu de rôle. Incarna est une nouvelle génération de loisir en salle).
  • Espace Edtech & Entertainment : IONISx (la plateforme des enseignements numérique du Groupe IONIS) et Horyus (projet d’authentification objets avec puce NFC et Blockchain ), Moustico Game’s (jeux vidéo en réalité augmentée).
  • Espace Social & HealthEpherda (serious game en réalité virtuelle pour l’apprentissage des étudiants en médecine), Med&Chill (solution alternative pour le diabète), Favoriser l’autonomie (montre connectée aidant les personnes handicapées ou déficientes mentales à accomplir les tâches simples du quotidien) et des développements de l’EPITA pour le robot Pepper.
  • Espace App & Tech : La météo des chantiers (application mobile pour la Société du Grand Paris permettant à ses utilisateurs de s’informer en temps réel de ce qui se passe à côté de chez eux et de ce qui adviendra dans le futur), Arkeneo (un projet Epitech) et Nich (en insufflant des méthodes issues d’un processus design sur des territoires et autour d’une thématique qui en est globalement dépourvu, Nich permet une coopération des institutions, des habitants et des migrants afin de rendre possible l’appropriation de ces outils et de leur territoire de vie).

A 11 h, présentation de Fréquence Running (application permettant de bâtir un plan d’entraînement personnalisé et gratuit).
A 15 h, présentation de Favoriser l’autonomie.
A 17 h, présentation de Bonanza (plateforme pour optimiser la recherche de stages par les étudiants et construire un réseau professionnel).

Vendredi 16 juin

Toute la journée

  • Espace Incubator : WitickEstimeo et Wellcut (en quelques clics, Wellcut permet à tous de créer très simplement et de partager immédiatement l’extrait de son moment préféré d’une vidéo en ligne)
  • Espace Edtech & Entertainment : IONISx, Quantifly (drone détecteur de pollution de l’air),  Moustico Game’s et Wouvy (plateforme permettant aux internautes de se réunir et de travailler ensemble sur un même support, de partager et échanger des documents. Les diverses fonctionnalités accompagnent l’équipe dans un processus de réflexion et de concrétisation)
  • Espace Social & HealthEpherda, Favoriser l’autonomie, Pepper et Evidence (miroir connecté et interactif qui assiste le médecin et soutient les patients victimes d’un AVC durant leur phase de rééducation).
  • Espace App & Tech : RailZ (application d’information des usagers par les usagers), Highdr’o (fusée capable de transporter jusqu’à 2000 m d’altitude, des molécules pouvant déclencher la pluie) et Arkeneo.

A 11 h, présentation de Quantifly.
A 15 h, présentation de Realytics (analyse de la performance des campagnes publicitaires offline).
A 17 h, présentation de Victor & Charles (intelligence artificielle dédiée au personnel de l’hôtel qui prédit les envies des clients).

Samedi 17 juin

Toute la journée

  • Espace Incubator : ICEboard (application mobile et web qui rassemble les acteurs, les gestionnaires et les décisionnaires dans une salle de crise virtuelle), Wellcut, My Robotics (appareil qui, en mesurant l’évolution de la sensibilité au goût des patients, permet d’adapter la posologie de leurs traitements) et Cowash (pressing collaboratif)
  • Espace Edtech & Entertainment : Morman Design (édition de logiciels web pour les salons de coiffure) , Quantifly, Wouvy et Incarna.
  • Espace Social & HealthEpherda, Pepper, Evidence et Aéromate (start-up d’agriculture urbaine).
  • Espace App & Tech : RailZ, Highdr’o et Nich.

 


VivaTechnology
Les 15, 16 et 17 juin
Stand IONIS Education Group – B20 / Espace Accelerate

Paris Expo Porte de Versailles
1, place de la Porte de Versailles
 75015 Paris

Nouveau succès pour IPSA Space Systems

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En avril, trois étudiants membres de l’association IPSA Space Systems (ISS) se trouvaient au pôle Nord pour procéder au lancement de la fusée SERA 3 dans le cadre du projet PERSEUS du Centre national d’études spatiales (CNES). Un succès sur lequel revient Adrien Baras (IPSA promo 2017), ex-président et fondateur de l’asso, désormais remplacé par Safouane Benamer (IPSA promo 2020).


Peux-tu rappeler ce que signifie SERA ?
Il s’agit de l’acronyme de Supersonic Experimental Rocket ARES. SERA est l’un des macro-projets lancés dans le cadre de PERSEUS, le Projet Étudiant de Recherche Spatiale Européen Universitaire et Scientifique initié par le CNES qui vise à favoriser l’émergence de solutions techniques portées par les étudiants participants.  À terme, l’objectif de ce programme est d’envoyer en orbite basse des nano-satellites (soit des satellites de moins de 10 kilos) grâce à des moyens non conventionnels, c’est-à-dire sans utiliser de grosses fusées comme Ariane. Pour arriver à atteindre cet objectif, il a été décidé de séparer le projet en onze macro-projets développés en parallèle par les associations. Chez nous, à l’IPSA, nous nous occupons principalement d’ARES et SERA, deux démonstrateurs expérimentaux. Pour faire simple, il s’agit de fusées permettant de démontrer la viabilité de nos expériences ou des systèmes technologiques que nous avons inventés. Le but d’ici une dizaine d’années est d’arriver à mettre une fusée sous un drone et d’envoyer le tout pour atteindre les 100 kilomètres d’altitude, soit aux portes de l’espace !

Quelle est la différence entre ARES et SERA ?
SERA est tout simplement la « version performance » d’ARES. Ainsi, nous lançons les fusées ARES en France : ce sont des fusées de 3-4 m de hauteur et de 160 mm de diamètre, équipées de petits moteurs de 50 cm et d’environ 3 kilos de poudre, en accord avec la législation française. Ces moteurs nous permettent de faire monter ARES à environ 2000-3000 m d’altitude, en sachant que la France n’autorise pas à dépasser un palier de 3 km en raison de l’aviation civile.
Sur SERA, lancé il y a quatre ans, le processus est différent. Pour lancer SERA 1 en 2014, SERA 2 en 2016 et SERA 3 cette année, nous nous rendons à Kiruna, au pôle Nord. Comme l’aviation civile y est quasiment nulle, cela permet de tirer les fusées bien plus haut. Surtout, cette localisation nous permet également d’utiliser des moteurs non autorisés en France. Voilà pourquoi nous pouvons dès lors utiliser des moteurs Pro-98, soit des moteurs de 10 kilos de poudre. SERA 3 faisant ainsi 80 kilos dont 30 de poudre et a été envoyée à 5,5 kilomètres d’altitude, à Mach 1.4 environ. Une belle performance !

Chaque nouveau lancement est une satisfaction ?
Oui, même si nous n’arrêtons jamais vraiment de travailler, chaque projet correspond à deux ans de travail ! Pendant que nous travaillons à la fabrication d’une fusée, nous pensons en parallèle à la conception de la suivante. Là par exemple, nous sommes en train de définir ce que sera SERA 4 et d’effectuer les premières études théoriques. Cette fusée sera à nouveau une fusée mono étage avec un fagot de 3 moteurs afin de capitaliser sur les nouveautés de SERA 3 et d’améliorer les quelques points difficiles que nous avons connus sur cette dernière. Depuis, le chef de projet a décidé que SERA 4 allait à nouveau être une fusée mono étage avec un fagot de 3 propulseurs comme SERA 3.

À quoi correspondent les évolutions de SERA ?
On essaye chaque année de rajouter de plus en plus de choses à nos fusées, même si SERA 2 était plus ou moins la même que SERA 1. En effet, SERA 2 nous a surtout servi à renforcer l’aspect transmission entre les étudiants déjà présents et ceux nouvellement arrivés au sein de l’association : cela a permis de construire cette deuxième fusée en mieux et en moins de temps que sa grande sœur ! Dans le cas de SERA 3 par contre, il est davantage question de bond technologique et d’augmentation des performances : nous avons ainsi mis trois moteurs au lieu d’un seul et conçu la fusée en double diamètre – l’étage du bas faisait 250 mm et celui du haut 160 mm, ce qui nous a demandé de réadapter l’interface de la rampe de lancement. Si, en termes de performance pure, nous sommes passés de 5,2 à 5,5 kilomètres d’altitude, c’est surtout en termes d’avancées techniques que SERA 3 nous a été utile. L’expérience acquise lors de son élaboration nous servira pour la suite. D’ailleurs, sur SERA 3, nous avons pour la première fois également pris part à la conception de la maquette numérique CATIA de la fusée. Jusqu’à présent, c’était l’association SUPAERO Space Section (de l’ISAE) qui s’occupait surtout de cette partie avant que nous ne procédions à la fabrication. Là, avec la montée en puissance de l’IPSA et de l’association, nous avons voulu nous impliquer en amont, en plus de la fabrication des tubes, de la coiffe, des ailerons en matériaux composites qui sont fabriqués au laboratoire de matériaux composites de l’école… On prend une place de plus en plus importante sur le projet. L’an dernier, nous étions seulement deux. Là, nous sommes trois. Et l’an prochain, on espère être encore plus nombreux !



Le mercredi 26 avril, SERA 3 a été lancée avec succès à Kiruna. Qui étaient présents ?
Une équipe de campagne d’une trentaine de personnes regroupant toutes les associations ayant participé à sa fabrication – dont trois membres d’IPSA Space Systems – ainsi que des experts du CNES – ils mettent notamment en œuvre les moteurs – et l’équipe du Plateau projet PERSEUS, qui assure la bonne conduite et la coordination des projets

Ce succès vient également s’ajouter à plusieurs récompenses reçues par l’association en début d’année, toujours dans le cadre de PERSEUS.
Oui. Lors du séminaire annuel du CNES organisé en janvier 2017, IPSA Space Systems a reçu trois prix. Le prix du projet le plus innovant concernait la réalisation des tubes structuraux de la partie basse de SERA 3, qui respectent les procédés de fabrication des tubes en sandwich composites brevetés IPSA. Le prix de la meilleure réalisation a été décerné à Antoine Bianchi (IPSA promo 2016) pour son projet de fin d’études, à savoir la fusée ARES 23, justement conçue lors d’un stage réalisé au CNES. Enfin, le prix du meilleur travail en équipe a été décerné conjointement aux quatre associations – ISS, Centrale Lyon Cosmos, SUPAERO Space Section et Octave (Université d’Evry) – pour la campagne de lancement de SERA 2 en 2016.

Pierre Loiseau et Hadrien Lemaire (IPSA promo 2021) étaient présents à Kiruna pour le lancement de SERA 3

Combien de membres font partie de l’asso ?
Nous sommes une quinzaine. C’est un choix car, les sujets abordés étant très techniques, il faut que les « anciens » aient la possibilité de transmettre correctement ce savoir-faire aux jeunes qui arrivent. Cette transmission est capitale chez nous : je dis souvent que je préfère réaliser un tube de fusée en trois mois mais avec des jeunes, qu’en une semaine tout seul. Or, s’il y a trop de personnes, cela peut ne pas être le cas, ne serait-ce que pour l’espace limité dans notre laboratoire. En tout cas, l’association attire toujours plus d’IPSAliens. En nous rejoignant, ces derniers ont la chance de pouvoir participer à un projet passionnant et d’avoir accès à des moyens importants que l’on ne trouve pas habituellement dans les écoles.

D’ailleurs, quel point commun retrouve-t-on chez l’ensemble des membres d’IPSA Space Systems ?
La passion ! PERSEUS demandant énormément de temps et d’investissement si l’on veut réussir – je fais parfois 50 h de présence par semaine à l’association –, il faut forcément être passionné… et rigoureux, afin de concilier cela avec les études. Ce n’est pas un équilibre évident à trouver. C’est pourquoi nous sommes très attentifs à cela : si on voit qu’un membre privilégie trop l’association au détriment de son parcours étudiant, nous lui suggérons de faire une pause. Quand on participe à un projet aussi passionnant, on peut vite oublier ce qu’il y a autour !

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Retrouvez les dernières news du projet PERSEUS sur Facebook et YouTube

 

Yoann Ospital et Camille Plunian (e-artsup promo 2020), gagnants du concours Bordeaux Rosé 2017

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e-artsup_etudiants_concours_bordeaux_rose_projet_design_packaging_gagnants_2017_02.jpgÉtudiants en 2e année à e-artsup Bordeaux, Yoann Ospital et Camille Plunian (promo 2020) ont remporté le concours national Bordeaux Rosé 2017. Présent dans la catégorie Design-Packaging, le duo avait pour mission de repenser de façon innovante l’apparence de cette marque de vin afin de la promouvoir auprès d’une nouvelle clientèle. Pour réussir ce pari, Camille et Yoann ont imaginé une série de bouteilles collectionnable déclinant différents personnages créés pour l’occasion, le tout placé sous le thème de la plage. Une réalisation colorée et punchy qui a su séduire le jury.

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Yoann et Camille

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Pour découvrir l’intégralité de la stratégie développée par les deux étudiants,
rendez-vous sur leur profil Behance :
Portfolio de Camille / Portfolio de Yoann

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Les Grands Projets de fin d’études de la promo 2017

Et si demain

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2017 est une année importante pour l’ISG, qui franchit l’étape symbolique d’un demi-siècle d’existence.

À l’occasion de la célébration de son 50e anniversaire, l’école, qui compte 21 000 diplômés, a donné la parole à 50 d’entre eux, choisis pour la diversité de leurs parcours, dans un ouvrage collectif préfacé par Jacques Attali. Autour de cinq grands thèmes (innover, s’engager, entreprendre, oser le monde et transmettre), chaque intervenant propose une vision prospective de son secteur d’activité.

Cliquez sur le livre pour le découvrir.


Les étudiants de Ionis-STM brillent lors du Challenge du monde des Grandes Écoles et Universités 2017

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Organisé chaque année dans l’enceinte du stade Charléty (Paris 13e), le Challenge du monde des Grandes Écoles et Universités (CDMGE) est un événement sportif associé à un Forum des métiers qui réunit plus de 6 000 étudiants venus de près de 80 écoles à travers toute l’Europe. Lors de son édition 2017 organisée le samedi 10 juin, les étudiants de Ionis-STM n’ont pas manqué de se faire remarquer.



Récemment sacrée à l’issue de l’Ultimate Five, l’équipe de football masculin de l’école a ainsi démontré une nouvelle fois toutes ses qualités en se hissant sur la troisième marche du podium à l’issue du tournoi CDMGE.

Fin habitué des joutes de cet événement étudiants, George le Yéti n’a pas non plus usurpé sa réputation. Après une première place en 2014 et une deuxième en 2015, la mascotte de Ionis-STM a signé son grand retour sur le podium cette année en s’adjugeant le premier prix ! Bravo à Yvan Rémy (Ionis-STM promo 2017) qui a parfaitement su se glisser dans le costume de George !

Toute l’équipe de Ionis-STM félicite les sportifs et leurs supporters présents pour porter haut et fort les couleurs de l’école.



Yvan Rémy a permis à George de remporter le 1er prix des Mascottes



Les promotions 2016 à l’honneur

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Après ceux de l’EPITA, de l’IPSA et de l’ESME Sudria en mai, les diplômés des écoles technologiques sont montés sur la scène de la Maison de la Mutualité (Paris 5e) pour recevoir leurs titres, en présence de la direction du Groupe, des équipes pédagogiques et de leurs proches. Ces nouveaux diplômés rejoignent le réseau des 65 000 Anciens constitué par la vingtaine d’écoles membres de IONIS Education Group.

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Robes de soirée et smokings étaient de sortie dans l’enceinte de la prestigieuse Maison de la Mutualité (Paris 5e). Présent sur la grande scène, Marc Sellam, président-directeur général de IONIS Education Group, rappelait justement ce qui attendait dorénavant ces nouveaux talents. « Les diplômés de ce soir ont bien de la chance dans leur génération : ils sont attendus, confiants. Ils se lèvent le matin avec une raison d’espérer et construisent leur avenir sur des bases solides : celles que leur famille a su leur donner, celles que l’école a pu leur proposer, celles que leur travail enfin a traduit en réalité. Choisir une carrière dans un domaine de création où la technologie est omniprésente ou dans un domaine technologique plus déterminé, c’est s’assurer dans le monde qui vient une place d’arbitre. » Une pensée partagée par Fabrice Bardèche, vice-président exécutif du Groupe IONIS, également présent pour féliciter ceux qui s’apprêtent à bousculer la société actuelle : « Les matins qui se lèvent laissent voir d’immenses champs à conquérir où les idées se bousculent. »

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_supbiotech_diplomes_etudiants_ingenieurs_biotechnologies_evenement_juin_2017_04.jpgFabrice Bardèche et Marc Sellam

 

 

Sup’Biotech

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Directrice générale de Sup’Biotech depuis 2009, Vanessa Proux a vu chacun de ces étudiants distingués grandir et s’épanouir au fur et à mesure des cinq années du cursus. Au moment de leur remettre un diplôme bien mérité, elle ne pouvait pas s’empêcher de leur adresser un dernier message d’encouragement aux côtés du Pr. Jean-Claude Chermann, parrain de promo. « Chers diplômés, 2016 fut, pour Sup’Biotech, une année exceptionnelle en termes de résultats : la réussite de votre promotion en fait partie ! Vous allez contribuer au rayonnement des biotechnologies en France mais aussi à l’international. Je vous souhaite aussi un bel épanouissement personnel. Au plaisir de vous revoir prochainement dans notre écosystème ! »

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Vanessa Proux et Jean-Claude Chermann

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_supbiotech_diplomes_etudiants_ingenieurs_biotechnologies_evenement_juin_2017_06.jpgretour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_supbiotech_diplomes_etudiants_ingenieurs_biotechnologies_evenement_juin_2017_07.jpgS’en suivait le moment le plus attendu par l’audience : la montée sur scène de l’ensemble des quelques 90 membres de cette promotion 2016 si prometteuse. Un instant émouvant, tant pour les équipes pédagogiques que les diplômés, qui permettait également de récompenser les trois Majors de ce nouveau cru de Sup’Biotech : Olivier Bequignon (Majeure Recherche & Développement), Cindy Carrière (Majeure Bioproduction et Qualité), Soline Alardet (Majeure Marketing et Management des Produits). Félicitations à l’ensemble des diplômés !

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Les trois Majors de la promotion 2016 : Soline Alardet, Cindy Carrière et Olivier Bequignon

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Epitech

Comme les deux promotions précédentes, la promo 2016 a fêté l’obtention de son titre et ainsi la fin officielle de sa condition étudiante dans les murs de la (très) belle Maison de la Mutualité ce samedi 17 juin 2017. Un mélange de fierté et de petit pincement nostalgique a flotté à cette occasion, aidé en cela par la présence des proches entre ces murs. Une journée à part qui restera dans la mémoire de chacun des 631 membres de cette promo 2016, comme de celle de son parrain, Julien Mangeard, CTO de vente-privee.com et Epitech promo 2007.

2016 en 2017

La promo de telle année fête toujours l’obtention de son titre à Epitech l’année d’après, pourquoi cette petite curiosité ? Parce que, et c’est le cas pour toutes les promos, l’école attend de valider notamment et entre autres le dernier stage « full-time » de 6 mois qui clôt la cinquième année Epitech afin de certifier les titres. Pour cette promo 2016, cette validation s’est déroulée comme tous les ans fin décembre, elle fête donc son titre en 2017.

Le jury final de la promo 2016

Cette année en décembre 2016, ce jury était composé, outre des équipes pédagogiques concernées, de Pierre Sulpice, Ancien de l’école (promo 2013) et co-fondateur de TheMachinery ainsi que de Paola Pitault, de la direction des Ressources Humaines IT de la Société Générale.

Major de promo 2016 : J.-C. Yalap

Ce samedi 17 juin 2017, après les discours d’introduction de Marc Sellam, président-directeur général de IONIS Education Group, de Fabrice Bardèche, vice-président exécutif du Groupe et d’Emmanuel Carli, directeur général d’Epitech puis de Julien Mangeard, c’est Jean-Claude Yalap qui a pris le micro en tant que major de promo de ce millésime 2016.

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Rien sans rien

« Finir major de promo, nous avoue Jean-Claude, c’est un honneur, une vraie fierté parce que pendant toutes ces années, j’ai travaillé d’arrache-pied pour avoir les meilleurs résultats… C’est la concrétisation de tous ces efforts ».

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De la mixité dans la promo 2016

Comme toute la promo est évidemment présente en ce grand jour de remise des titres, on a croisé Clémence Barthoux, co-fondatrice quand elle était en troisième année de l’association E-mma avec Christelle Plissonneau. Même si bien connue aujourd’hui, rappelons que l’association E-mma promeut la diversité dans le numérique, en général comme à Epitech en particulier.

Epitech, l’école des 100 % de ses étudiants en entreprise à la sortie de l’école

Parlant filière, Clémence actuellement ingénieure avant-vente chez VMware tient à rappeler, que « l’informatique est un super secteur, il y a beaucoup de travail, beaucoup de possibilités en termes de carrière. Et Epitech nous prépare vraiment à entrer dans le monde professionnel : en cinquième année, on est opérationnel. Avec tous les stages que l’on a déjà faits, on connaît le monde de l’entreprise ».

Les entrepreneurs

Les grands comptes, les intrapreneurs, les start-up et les entrepreneurs, une autre partie des membres de la promo 2016 s’est lancée dans la création de leur propre activité. Entre beaucoup d’autres, on peut citer les membres de Blackfoot.io (tous promo 2016) qui participent, en plus de leur activité de prototypage de solutions innovantes, à l’animation du Hub Innovation à Epitech Paris. Jean-Claude les connaît bien d’ailleurs puisque lui et plusieurs des co-fondateurs de Blackfoot.io travaillaient ensemble sur l’Epitech Innovative Project qui a remporté les Trophées EIP de la promo 2016

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Que deviens-tu ?

« Avec mon frère Lucas, également d’Epitech, promo 2012, reprend Jean-Claude Yalap, nous avons monté notre boîte YSO Corp, initialement dédiée à l’innovation avec la création de jeux mobiles, puis d’un générateur d’applications mobiles : AVosAPP. Celui-ci permet, à partir de simples « glisser-déposer » et 2, 3 clics, d’obtenir une application mobile native Android et iOS ».

Succès

« Depuis, nous avons peu à peu basculé vers un système que tous les deux, nous aimons appeler « semi start-up » où nous réalisons à la fois des projets pour des start-up ou grands groupes tout en continuant à côté nos propres projets innovants. Notre entreprise démarre tellement bien qu’on recherche de nouveaux développeurs… J’ai d’ailleurs un message à faire passer : venez chez nous, on ne travaille qu’avec de bonnes technologies, sur de beaux projets ! (sourires) ». À bon entendeur…

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Que t’a apporté Epitech ?

« Epitech m’a permis, souligne Jean-Claude, de me perfectionner dans la réalisation de projets informatiques, de me diversifier aussi en sachant facilement changer de technologie si besoin. Et bien sûr, d’avoir de la rigueur dans le rendu des projets, de savoir rendre des projets stables et bien structurés ».

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Des histoires de famille à Epitech

Après cette remise des titres en cette chaude soirée, le moment du cocktail est arrivé à point nommé. Nous avons eu le plaisir de revoir Tom Nguyen, accompagné de sa sœur et de sa mère qui nous a appris qu’outre Tom, tout juste titré ce samedi 17 juin, Arthur son frère aîné a également suivi le cursus Epitech, promo 2012 (comme le frère de Jean-Claude Yalap).

L’écosystème de l’école

« Actuellement je suis « product manager » chez weekenddesk, je suis très content d’être là-bas, s’enthousiasme Tom. Je suis ravi d’avoir fait Epitech et je recommanderais l’école à n’importe qui essayant de solder des heures de sommeil en trop, d’y venir (sourires)… ». Mme Nguyen nous informe de son côté qu’Arthur Nguyen s’inscrit à l’Executive MBA d’Epitech.

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Julien Mangeard, parrain de promo

Formation qu’a suivie aussi Julien Mangeard, promo 2014. Dans son joli discours inaugural, Julien n’a pas manqué de souligner notamment la force du réseau des Epitech Alumni et leur ouverture bienveillante à l’égard de leurs cadets. La « soirée d’intégration » de la promo 2016 à l’association des Anciens de l’école se tiendra d’ailleurs ce 29 juin.

 

e-artsup

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Directeur d’e-artsup, Nicolas Becqueret a vu chacun de ces étudiants distingués s’épanouir au fur et à mesure du cursus. Au moment de leur remettre un diplôme bien mérité, il ne pouvait pas s’empêcher de leur adresser un dernier message d’encouragement. « Vous étiez des jeunes passionnés un peu artistes. Après cinq années de travail, d’exigence et de créativité vous êtes devenus des directeurs artistiques passionnants ! Continuez à oser, à nous surprendre et n’arrêtez jamais de vous réinventer ! »

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_04.jpgNicolas Becqueret

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_08.jpgMatthieu Cousquer, responsable communication d’e-artsup

S’en suivait le moment le plus attendu par l’audience : la montée sur scène de l’ensemble des quelques 90 membres de cette promotion 2016 si prometteuse. Un instant émouvant, tant pour les équipes pédagogiques que les diplômés, qui permettait également de récompenser les quatre Majors de ce nouveau cru 100 % e-artsup : Laurine Devergne (Digital Design & Communication), Victor Miellin (Design Interactif), Sylvain Murat (Game Design) et Tiffany Picq (Motion Design). Félicitations à l’ensemble des diplômés !

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_06.jpgretour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_09.jpgFabrice Bardèche, Marc Sellam et Nicolas Becqueret en compagnie des quatre Majors 2016
De gauche à droite : Laurine Devergne, Victor Miellin, Tiffany Picq et Sylvain Murat

retour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_05.jpgretour_ceremonie_remise_titres_promotion_2016_e-artsup_diplomes_etudiants_majors_design_digital_communication_motion_game_evenement_juin_2017_07.jpg

Ionis-STM

Directrice de Ionis-STM, Valérie Pham-Trong a vu chacun de ces étudiants distingués s’épanouir et se révéler au fur et à mesure du cycle d’études choisis, du Bachelor au MBA. Au moment de leur remettre un diplôme bien mérité, elle ne pouvait pas s’empêcher de leur adresser un dernier message d’encouragement aux côtés d’un Joël de Rosnay qui, « fier, honoré et passionné d’être le parrain de cette promotion », conseillait notamment à ses filleuls d’avoir « moins peur de l’intelligence artificielle que de la stupidité naturelle ».

Joël de Rosnay

« Toutes mes félicitations, lançait Valérie Pham-Trong. Vous avez fait le choix de la double compétence qui reflète votre état d’esprit, votre curiosité, votre envie d’en savoir toujours plus. En changement constant, la vie vous poussera à continuer à apprendre : osez entreprendre, saisissez les opportunités, restez tournés vers l’avenir pour garder de l’avance et construisez le monde de demain ! » Un discours qui allait de pair avec celui prononcé par Pierre Gérard et Gwendoline Phelisse (Ionis-STM promo 2015), venus souhaiter une bonne route à ces diplômés qui rejoignent ainsi les quelque 1 400 membres de l’association des Anciens de l’école.

Gwendoline Phelisse et Pierre Gérard

S’ensuivait le moment le plus attendu par l’audience : la montée sur scène de l’ensemble des quelque 120 membres de cette promotion 2016 si prometteuse. Un instant émouvant, tant pour les équipes pédagogiques que les diplômés, qui permettait également de récompenser les quatre Majors de ce nouveau cru de Ionis-STM : Matthieu Birba (Manager en Energie), Sylvain Nor (Expert en Ingénierie Informatique), Cyril Picard (Manager en Biotechnologies) et Mélissa Sari (Experte en Management des Systèmes d’Information). Ionis-STM félicite une nouvelle fois l’ensemble des diplômés !


De gauche à droite : Sylvain Nor, Cyril Picard, Marc Sellam, Valérie Pham-Trong, Joël de Rosnay, Mélissa Sari, Fabrice Bardèche et Matthieu Birba


ETNA

Directeur exécutif de l’ETNA, Samir Rinaz vu chacun de ces étudiants s’épanouir et se révéler au fur et à mesure du cursus de l’école, de la fameuse Piscine jusqu’à la création des Grands Projets ETNA dévoilés lors de l’Innov’ Camp. Au moment de leur remettre un diplôme bien mérité, il ne pouvait pas s’empêcher de leur adresser un dernier message d’encouragement. « Toutes mes félicitations aux diplômés de la promotion 2016. Dans la continuité de votre alternance, votre professionnalisme continue de se développer tous les jours. Ne vous fixez aucune limite, ce n’est que le début… Belle réussite à tous dans votre carrière ! »

retour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_05.jpgS’en suivait le moment le plus attendu par l’audience : la montée sur scène de l’ensemble des quelques 90 membres de cette promotion 2016 si prometteuse. Un instant émouvant, tant pour les équipes pédagogiques que les diplômés, qui permettait également de récompenser les quatre Majors de ce nouveau cru de l’ETNA : Jérémy Chapdelaine (Majeure architecte système réseaux et sécurité – Rentrée de mars), Thomas Chauffour (Majeure architecte système réseaux et sécurité – Rentrée d’octobre), Angie Laurenti (Majeure architecte logiciel développeur d’applications – Rentrée d’octobre) et Nicolas Miannay (Majeure architecte logiciel développeur d’applications – Rentrée de mars).

retour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_06.jpgDe gauche à droite : Robin Le Querec, directeur pédagogique de l’ETNA, Angie Laurenti, Thomas Chauffour, Jérémy Chapdelaine, Nicolas Miannay et Samir Rinaz

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L’école félicite une nouvelle fois l’ensemble de ces diplômés !

retour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_08.jpgretour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_09.jpgretour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_12.jpgretour_ceremonie_remise_diplomes_etudiants_etna_alternance_promotion_2016_juin_2017_evenement_10.jpg

Les Chatons d’Or 2017

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Pour clôturer sa 6e édition, les Chatons d’Or ont organisé une grande cérémonie au sein de l’Espace Niemeyer (Paris 10e) le mardi 13 juin 2017. Lors de cette soirée où s’étaient donné rendez-vous de nombreux professionnels de la communication, du design, du marketing et de la publicité, le festival de la nouvelle économie créative a pu remettre ses distinctions à celles et ceux qui ont su se démarquer à l’issue de challenges ayant recueilli quelques 3 000 créations réparties sur huit catégories. Partenaire de l’événement et du Prix Spécial « Une marque de notre enfance à réinventer » aux côtés de l’ISEG Marketing & Communication School, e-artsup est fière de pouvoir compter plusieurs étudiants et Anciens parmi les lauréats 2017 !

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Sur la scène, Laurent Allias, cofondateur de l’agence Josiane et créateur des Chatons d’Or, Nicolas Becqueret, directeur d’e-artsup et Nathalie Philippe, responsable communication nationale de l’ISEG Marketing & Communication School

Engagées dans le challenge « Campagne innovante » lancé par les écoles ESP & Condé, Marion Brizard-Lamour et Mathilde Maximin (e-artsup promo 2018) se sont vu attribuer une mention spéciale par le jury pour Emojizz. Déjà remarqué en 2015 à l’occasion des 6es Rencontres du Tourisme, ce duo prometteur s’est ici amusé à « protéger » les émojis les plus « coquins » afin de sensibiliser le grand public et les adeptes des réseaux sociaux à la lutte contre le sida menée par Sidaction. Une idée simple, pertinente et brillement exécutée.

retour_chatons_or_2017_laureats_eartsup_groupe_ionis_concours_prix_mentions_projets_design_com_marketing_innovation_anciens_etudiants_concepts_06.jpgretour_chatons_or_2017_laureats_eartsup_groupe_ionis_concours_prix_mentions_projets_design_com_marketing_innovation_anciens_etudiants_concepts_07.jpgParticipant au challenge « Politique et Espace Public » en compagnie d’Aurélien Montero, Amaury Vincens de Tapol (e-artsup promo 2016) a lui aussi réussi à séduire le jury grâce à « Faites entendre votre voix », une vidéo détournant astucieusement le grand débat du premier tour de la dernière campagne présidentielle. Le duo obtient ainsi la Mention Projet « Politique et Espace Public ».

Autre challenge, autre mention pour Jean Weessa (e-artsup promo 2008). Accompagné de Cyril Chapellier, Mélanie Pennec et Eric Redon, cet Ancien acquiert la Mention Projet « Arts et culture » pour Pianette, un « piano – manette de jeu vidéo » idéal pour jouer à « Street Fighter ».

Enfin, pour le Prix Spécial « Une marque de notre enfance à réinventer » d’e-artsup et de l’ISEG Marketing & Communication School, le jury a choisi de distinguer trois propositions… dont deux portées par des équipes composées uniquement de 4es années d’e-artsup !

Une première mention a récompensé Simon Dhuy, auteur d’une ingénieuse campagne print dédiée à Chupa Chups XXL.

retour_chatons_or_2017_laureats_eartsup_groupe_ionis_concours_prix_mentions_projets_design_com_marketing_innovation_anciens_etudiants_concepts_08$.jpgUne seconde mention a été décernée à Marion Brizard-Lamour (encore elle !), Marie-Noémie Harribey, Théo Klein et Pierre Lemoine (e-artsup promo 2018) pour « Digital Sucks », une campagne vidéo et print pensée pour remettre Kodak sur le devant de la scène.

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Enfin, le Prix Spécial a été remis à Matthieu Delannoy, Clément Dubois et Estelle Pomarel (e-artsup promo 2018), responsables d’une campagne vidéo et print pleine d’humour à destination de Malabar, la célèbre marque de chewing gum.

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« Ce sont d’excellents résultats pour nous car la plupart des prix sont généralement gagnés par des agences et des créatifs de moins en moins juniors, notait Nicolas Becqueret, directeur d’e-artsup, à la fin de la cérémonie. Le concours a reçu presque 3 000 créations en tout et nous avons su nous distinguer. Nous pouvons nous en réjouir ! Félicitations à tous ! »

 


La grande famille d’e-artsup et du Groupe IONIS également récompensée à travers le Prix de la campagne de marque libre Print.
Réunis en équipe sous le nom de Pif & Hercule, Vincent Begbeider, responsable emailing chez IONIS Education Group et Marie Viansson Ponté, membre du jury des Grands Projets de fin d’études d’e-artsup et directrice artistique chez IONIS Education Group se sont également démarqués lors des Chatons d’Or 2017. Le duo remporte le Prix de la campagne de marque libre Print grâce à « La Vitrine du Quotidien », une campagne autour des frigidaires Brandt qui souligne intelligemment leur détournement quotidien dans les foyers.

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VivaTechnology 2017

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Rendez-vous mondial de l’innovation, VivaTech a accueilli près de 68 000 visiteurs, du 15 au 17 juin à Paris Expo Porte de Versailles (Paris 15e). Lors de cette deuxième édition, le Groupe IONIS, partenaire de l’événement, a présenté une trentaine de projets portés par ses étudiants et diplômés. L’occasion de mettre en avant les synergies  entre éducation et innovation existantes  entre les écoles, qui en plus de faire de IONIS Education Group la première institution de l’enseignement supérieur privé français, en font le Groupe d’enseignement leader dans les technologies informatiques et les mondes numériques. En témoignaient les très nombreux Anciens  présents à ce salon, parmi les exposants et les visiteurs.

Du projet solidaire Nich, permettant de secourir les réfugiés migrants grâce au design de service (e-artsup), au serious game en réalité virtuelle « Ephedra pour l’apprentissage des étudiants en médecine (EPITA), à la conception d’une fusée capable de transporter jusqu’à 2000 m d’altitude des molécules pouvant déclencher la pluie Highdr’o de l’IPSA, les étudiants et Anciens du Groupe ont couvert différents domaines d’innovation grâce à des projets dans les secteurs du transport, de l’aéronautique, de la santé, du divertissement, de la cybersécurité, de l’agriculture ou encore du digital, de la réalité augmentée, du jeu vidéo, de la robotique et de l’intelligence artificielle.

Voici les principaux projets présentés :

  • Witick : application mobile permettant d’acheter et d’utiliser un ticket de transports en commun sur son téléphone. L’utilisateur achète un titre en 1 clic puis approche son smartphone de la borne pour valider son ticket.
  • Estimeo : Estimeo note les start-ups et projets innovants de manière automatique et algorithmique en se basant sur des critères financiers et extra-financiers.
  • Incarna : à la croisée du cinéma, de l’escape Game et du jeu de rôle. Incarna est une nouvelle génération de loisir en salle.
  • Horyus : projet d’authentification objets avec puce NFC et Blockchain.
  • Helppy : montre connectée aidant les personnes handicapées ou déficientes mentales à accomplir les tâches simples du quotidien
  • La météo des chantiers : application mobile pour la Société du Grand Paris permettant à ses utilisateurs de s’informer en temps réel de ce qui se passe à côté de chez eux et de ce qui adviendra dans le futur.
  • Fréquence Running : application permettant de bâtir un plan d’entraînement personnalisé et gratuit.
  • Bonanza : plateforme pour optimiser la recherche de stages par les étudiants et construire un réseau professionnel.
  • Wellcut : en quelques clics, Wellcut permet à tous de créer très simplement et de partager immédiatement l’extrait de son moment préféré d’une vidéo en ligne.
  • Quantifly : drone détecteur de pollution de l’air.
  • Wouvy : plateforme permettant aux internautes de se réunir et de travailler ensemble sur un même support, de partager et échanger des documents. Les diverses fonctionnalités accompagnent l’équipe dans un processus de réflexion et de concrétisation.
  • Evidence : miroir connecté et interactif qui assiste le médecin et soutient les patients victimes d’un AVC durant leur phase de rééducation.
  • RailZ : application d’information des usagers par les usagers.
  • Highdr’o (fusée capable de transporter jusqu’à 2000 m d’altitude, des molécules pouvant déclencher la pluie.
  • Realytics : analyse de la performance des campagnes publicitaires offline.
  • Victor & Charles : intelligence artificielle dédiée au personnel de l’hôtel qui prédit les envies des clients.
  • ICEboard : application mobile et web qui rassemble les acteurs, les gestionnaires et les décisionnaires dans une salle de crise virtuelle. 
  • My Robotics : appareil qui, en mesurant l’évolution de la sensibilité au goût des patients, permet d’adapter la posologie de leurs traitements.
  • Cowash : pressing collaboratif.
  • Morman Design : édition de logiciels web pour les salons de coiffure.
  • Aéromate : start-up d’agriculture urbaine.

 

Le Salon International du Bourget

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Du lundi 19 au dimanche 25 juin 2017, l’IPSA était au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Paris Bourget (SIAE) à l’occasion de la 52e édition de ce rendez-vous majeur réunissant les principaux acteurs mondiaux de l’air et de l’espace. Représentée sur place par ses équipes et ses étudiants, l’école a profité de cette semaine inoubliable pour multiplier les rencontres et les initiatives. De l’opération « Elles Bougent s’envole au Bourget » à la présence du simulateur de vol conçu par l’association IPSA Flight, en passant par la signature de multiples partenariats et de belles retrouvailles avec Dorine Bourneton, Thomas Pesquet ou encore les membres de la Patrouille de France (PAF), l’école vous propose de revivre les temps forts de ce SIAE 2017 à travers les yeux des IPSAliens. Préparez-vous au décollage : c’est parti !



Quand la PAF retrouve l’IPSA
L’IPSA et la PAF, c’est une amitié qui dure. Déjà partenaire du film « La Patrouille de France » qui célébrait les 60 ans de cette formation, l’école organisait au mois d’avril 2017 une rencontre avec le Commandant Christophe Dubois, actuel leader de PAF, à l’occasion de l’US Tour réalisée par cette dernière. Quoi de plus normal alors que de voir ces pilotes d’élite profiter de leur présence au Bourget pour venir saluer l’école… et essayer le simulateur de Boeing 777 d’IPSA Flight.




Un simulateur très apprécié

Il n’y a pas que les membres de la PAF qui ont pu tester le simulateur de vol d’IPSA Flight. Durant le SIAIE, nombreux ont été les visiteurs à vouloir, le temps d’un vol virtuel, réaliser leur rêve de devenir pilote au sein de cette structure entièrement réalisée par les étudiants de l’association au fur et à mesure des années. Un succès amplement mérité, qui vient récompenser la passion et le travail de plusieurs générations d’IPSAliens !



L’IPSA & Elles Bougent : la transmission avant tout
De passion, il en était également question lors de l’opération « Elles Bougent s’envole au Bourget » pour laquelle l’IPSA était partenaire. L’occasion pour près de 150 collégiennes et lycéennes de partir à la rencontre des professionnels de l’aéronautique et de l’espace en compagnie de plusieurs femmes ayant fait le choix de réaliser une belle carrière dans ce secteur !




Thomas Pesquet et Dorine Bourneton avec les IPSAliens
L’un est astronaute et vient à peine de rentrer de son séjour de six mois à bord de la Station spatiale internationale (ISS). L’autre est la première femme handicapée pilote de voltige et représente un bel exemple d’abnégation et de combativité. Thomas Pesquet et Dorine Bourneton étaient également de passage au Bourget pour retrouver l’IPSA qu’ils avaient déjà pu côtoyer par le passé, lors de deux conférences passionnantes organisées par l’école ces dernières années.

Thomas Pesquet



Dorine Bourneton

L’innovation « made in IPSA » également à l’honneur
Après avoir fait forte impression sur le stand IONIS Education Group lors du salon Viva Technology 2017, la start-up Bonanza de Franck Lapalus-Magnan et Mathieu Marziou (IPSA promo 2016) a également fait parler d’elle lors du SIAE grâce à son application mobile destinée à faciliter la recherche d’alternances et de stages grâce à une candidature en un clic !

Bernard Moretti, responsable des études 4e et 5e années et Francis Pollet, directeur général de l’IPSA, avec le duo à l’origine de Bonanza

Trois nouveaux partenariats prestigieux
Au Bourget, l’IPSA a aussi officialisé trois nouveaux partenariats avec AKKA Technologies, l’Institut aéronautique Jean Mermoz et Kuehne + Nagel, trois entités reconnues du monde de l’air et de l’espace ! Avec Kuehne + Nagel le partenariat porte sur un projet de gestion de drones et d’inventaires dans les entrepôts de grande hauteur et de grande superficie. Avec l’Institut Jean Mermoz, ce partenariat permet la mise en place d’un nouveau double diplôme. Enfin, avec AKKA Technologies, ce partenariat vise à favoriser l’insertion professionnelle des futurs ingénieurs de l’école.

 



Hits Playtime 2017

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Ce samedi 25 juin, en marge de sa grande journée organisée à la Cité des Sciences et de l’Industrie, le concours de création de jeux vidéo Hits Playtime a annoncé le palmarès de son édition 2017. Et sur les cinq équipes de la filière Game Design d’e-artsup sélectionnées pour cette phase finale, trois ont été distinguées : The Alpinist, D85 et Ping Pong from Hell !

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Envie de jouer à chacun des jeux lauréats (mais aussi aux jeux finalistes Kunitsukami et Vortex) ? Participez à la prochaine Journée Portes Ouvertes du samedi 1er juillet à e-artsup Paris !


retour_ceremonie_hits_playtime_juin_2017_recompenses_alpinist_d85_ping-pong-from_hell_jeux_video_etudiants_game_design_e-artsup_02.jpgCoup de Coeur du Jury pour The Alpinist
Contemplatif, dépaysant, onirique… les adjectifs ne manquent pas pour décrire ce The Alpinist développé par Ludovic Fenouil, Romain Gourves, Maliga Grandperrin, Lorrène Martin, Florence Pitot et William Roth (e-artsup promo 2017), réunis sous l’entité Bobcat Studio. Avec son atmosphère unique, ce jeu de plateforme en 2D plongeant le joueur dans une nature aussi magnifique qu’hostile a ainsi su séduire les professionnels du jury d’Hits Playtime. Un coup de cœur amplement mérité.

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retour_ceremonie_hits_playtime_juin_2017_recompenses_alpinist_d85_ping-pong-from_hell_jeux_video_etudiants_game_design_e-artsup_03.jpgPrix du Gameplay pour D85
Jeu narratif à la première personne, D85 est un titre qui, en plus de son humour décalé, se distingue par un gameplay original. Ici, le joueur (qui incarne un chauffeur de taxi) doit gérer trois paramètres – la vitesse du véhicule, les boutons de l’habitacle et le passager à l’arrière – afin de pas laisser sa course prendre une mauvaise tournure. Grâce à ce concept peu commun et tout sauf en roue libre, l’équipe de Simon Brioul, Alexandre Huyghe, Joris Mazelle et Mélanie Pompon (promo 2017) remporte le Prix du Gameplay, titre qu’elle partage cette année avec un autre jeu, Ombrage.

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retour_ceremonie_hits_playtime_juin_2017_recompenses_alpinist_d85_ping-pong-from_hell_jeux_video_etudiants_game_design_e-artsup_04.jpgPrix de la Communauté pour Ping Pong from Hell
Enfant illégitime de Metal Slug, Diablo et Pong, le titre Ping Pong from Hell est un jeu de plateforme explosif à mi-chemin entre beat’em up et puzzle game qui fait vivre au joueur une aventure intense dans le royaume de Belzébuth. Ce dynamisme, l’équipe d’Edouard Clerc, Jeremy Fontanari, Aurore Golvec, Laura Mayaudon, Valentin Poinot et Axel Usureau (promo 2017) a également su le retranscrire sur les réseaux sociaux, avec des posts et statuts détonants partagés sur Facebook, Tumblr et Twitter. De quoi s’attirer les sympathies des pongistes de l’enfer en plus de celles du jury, qui a choisi de lui décerner le Prix de la Communauté.

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Encore bravo à l’ensemble des équipes d’e-artsup engagées dans le concours Hits Playtime 2017 qui ont brillé par la qualité de leur travail et leur implication !

Vous pouvez toujours essayer les jeux du concours en téléchargeant les versions jouables sur la page dédiée.

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Près de 2 500 visiteurs à la Convention Epitanime 2017

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retour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_04.jpgFaisant partie des plus anciennes conventions de France dédiées à la japanimation, la Convention Epitanime a tenu toutes ses promesses pour sa 24e édition qui s’est déroulée du 3 au 4 juin 2017 sur le Campus Paris Kremlin-Bicêtre de l’EPITA. L’événement a attiré près de 2 500 visiteurs qui ont pu prendre part à plusieurs activités (conférences, jeux de rôles, tournoi de jeux vidéo, karaoké, concerts, concours de cosplay…), mais aussi rencontrer de nombreux passionnés qui, amateurs ou professionnels, font vivre chaque jour la culture japonaise dans l’Hexagone.

retour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_06.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_01.jpg

Lors de cette nouvelle édition, la Convention Epitanime a été pour la première fois l’hôte d’un tournoi international de jeu vidéo. Organisé en partenariat avec l’association Salty Arena et dédié aux titres Super Smash Bros. Melee et Wii U, ce tournoi a permis à la manifestation d’accueillir de prestigieux invités venus du monde entier ! Ce tournoi au casting dantesque a été remporté par l’Américain Samuel « Dabuz » Buzby (catégorie Single Wii U), le Français Mahieddine Tsouria (catégorie Single Melee), le duo français Mahie-Samplay (catégorie Doubles Melee) et le duo franco-japonais GlutonnyTakuto « Kameme » Ono (catégorie Doubles Wii U).

retour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_03.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_02.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_08.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_09.jpgCette édition 2017 a également fait la part belle aux comédiens de doublage français ! Ainsi, Chantal Baroin (Erza Scarlet dans Fairy Tail, Fuu dans Samurai Champloo…), Olivier Korol (Tatsuya Fujiwara du film Death Note, Kunio Murai de GTO…), Arnaud Laurent (Nastu Dragnir de Fairy Tail, Kobby de One Piece…), Alice Orsat (Mitsuha de Kimi no na wa, Arya Stark de Game of Thrones…), Annabelle Roux (Sora dans Digimon, Clochette dans Les Aventures de Peter Pan…), Laurent Sao (Yugi Muto et Yami Yugi de Yu-Gi-Oh!, Pierre de Pokémon…) et Régine Teyssot (Nelson, Todd Flanders ou encore Ralph Wiggum des Simpson) ont fait le déplacement pour le plus grand plaisir des festivaliers !

retour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_10.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_05.jpgretour_evenement_convention_epitanime_2017_campus_epita_etudiants_japanimation_jeux_video_association_public_fete_tournois_cosplay_credits-ephemere_07.jpgCrédits Photos : Club Ephemere


Epitech se distingue lors du premier hackathon de l’ENA dédié à la conception de nouveaux outils de service public

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L’École nationale d’administration (ENA) a inauguré du 14 au 16 juin derniers la première édition de Conception innovante des politiques publiques, une « opération innovation » sur une thématique très concrète : la réinsertion sociale des jeunes en situation de décrochage ou éloignés des politiques d’emploi. Représentants des Missions locales, de Pôle Emploi ou bien encore de l’École de la deuxième chance étaient invités à juger sur pièces les projets présentés à l’issue de ces 3 jours. Des projets inter-écoles – l’ENA, Epitech, le Secrétariat général pour la modernisation de l’action publique (SGMAP), l’ENSCI et la Brasserie (des idées) -, visant à « inventer ensemble, les nouveaux outils du service public ».

3 x 3

Ces 3 journées étaient déclinées en 3 « ateliers » : l’un orienté Design, l’autre sur le Nudge et enfin, le hackathon avec la participation des étudiants Epitech apportant avec eux leur expertise informatique. Il est à noter que c’est du hackathon que provenaient le plus de projets, 7 en tout, ce qui s’explique aisément par la mobilisation de l’école qui a fait s’engager une trentaine d’étudiants venant non seulement d’Epitech Strasbourg mais aussi de Lyon, Marseille, Nice et Rennes.

Hors de sa zone

Pour Quentin Muller (promo 2020 à Strasbourg), « c’était intéressant de se pencher sur ces problématiques liées à Pôle Emploi et les Mission locales ». Ludovic Gueth, de la même promo et qui a participé cet hiver à Digitale Alternance à Epitech Strasbourg aussi renchérit : « c’est ça qui est bien ; nous, on n’a pas l’habitude de travailler sur ces sujets ».

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(©ENA de même que la photo de la homepage de notre site epitech.eu)

Idéation

Terry Cristinelli, promo 2016 et assistant pédagogique Epitech (APE) à Marseille, est « venu ici pour accompagner les étudiants, les aider, les guider dans le développement de leurs projets tout en m’impliquant, moi aussi dans une équipe ». Il confirme que « cette expérience était super enrichissante, il y a eu beaucoup d’échanges entre les énarques et nous, les Epitech. Ils étaient très sympa, on s’est très vite mixé, on a eu des coaches qui nous ont aidés à trouver des idées de projet. Du coup, comme nous et un autre groupe avons eu 2 idées de projets similaires, on s’est regroupé ensemble en une même équipe, 5 énarques et 6 Epitech. On a pensé à un scénario et on a commencé le développement ».

L’attractivité de la méthode projet

Christophe, énarque et membre lui du projet « Game of jobs », nous donne son avis sur la façon de travailler en mode projet à la manière Epitech : « j’ai été impressionné par l’agilité des étudiants Epitech, les discussions étaient très fluides, ils se sont tout de suite mis au travail en se répartissant les différentes tâches, ils ont travaillé vraiment en symbiose pour réaliser le projet le plus rapidement possible. J’ai vraiment été impressionné par cette méthode agile, qui va au concret ».

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Le prix coup de cœur du hackathon

Parlant concret, Antoine Boudet (promo 2020, Epitech Rennes), Walter Jay (promo 2020, Strasbourg) et Loic Linder (promo 2020, Strasbourg) ont eux travaillé sur « Les grands frères » : « une plateforme, décrit Antoine, qui permet d’améliorer les relations entre les décrocheurs et leurs parrains (les dits grands frères), de même que sur le suivi du parrainage. Une plateforme d’intermédiation pour améliorer et favoriser l’entrée ou le retour à l’emploi. Ce suivi est assuré par un « bot » qui renvoie des notifications au jeune s’il oublie de contacter son parrain par exemple au bout de 3, 4 jours. On ne veut pas enlever la relation humaine non plus : on veut juste que le « bot » aide à conserver la relation. Pareil dans l’autre sens, celui du parrain ».

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Reconnaissance sociale du parrainage

Antoine poursuit, « après, on a tout un système de tableau de bord qui permet de rassembler beaucoup d’informations de façon très simple, à destination des Missions locales, Pôle emploi etc. de manière à suivre plus efficacement le parrainage ». « Et donc, rebondit Walter, la réinsertion des décrocheurs. Parce que de l’autre côté, on veut aider le parrain en lui « fixant » des tâches prédéfinies, parce que celui-ci ne sait pas forcément ce qu’il doit faire exactement non plus. D’ailleurs, on n’a pas eu le temps d’en parler pendant le pitch mais on a imaginé pour le parrain, une fois son parrainage terminé, une inscription automatique sur son mur LinkedIn, histoire d’avoir une reconnaissance sociale de son action ». Ne pas avoir eu le temps de parler de cet aspect pendant leur pitch ne les a pas empêchés de gagner le prix coup de cœur du jury.

Le terrain, c’est bien

Pour Maria, énarque, membre de cette équipe et projet, « ces 3 jours étaient hyper enrichissants pour nous, nous qui sommes conduits à travailler presque constamment sur de grands projets stratégiques. Travailler à l’échelle du terrain, en réfléchissant à des résultats très pratiques, c’est bien aussi. Ces 3 jours étaient hyper motivants ».

Les vainqueurs du hackathon

De façon affinitaire, les étudiants d’Epitech Nice se sont eux regroupés dans la même équipe : ProxiJob. Et ce sont eux – Alexandre Leick, Etienne Passot, Melvin Nalepka, Gaël Thomas et Alexandre Sarti (tous promo 2021) -, qui ont remporté ce challenge avec leurs « camarades » de l’ENA. Si l’on se réfère à sa baseline « Un job à portée de pouce », on comprend vite que cette appli basée sur la géolocalisation aide à trouver un emploi. Mais Alexandre nous en précise les contours : « on est parti d’un constat simple, les jeunes en situation de décrochage scolaire ou en difficulté d’intégration n’ont aucune formation, en tout cas pas de réelle compétence professionnelle. L’idée c’est que des employeurs leur donnent une chance sur un besoin immédiat ne nécessitant pas de compétence précise. Typiquement, imagine un responsable de restaurant que le plongeur vient de lâcher, il en a absolument besoin pour son service du soir, il ne sait pas comment faire : il met une annonce sur notre appli, tous les demandeurs d’emploi aux alentours sont notifiés et décident d’y répondre, ou pas ».

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Reconnexion

« Le but c’est de faire mettre un pied à l’étrier à ce public, dans un environnement de travail tel que la restauration mais pas seulement. Si le secteur lui plaît, on lui propose de le re-diriger vers une formation où il pourra commencer à explorer les différentes facettes d’un métier, manière de le motiver encore plus à prolonger cette formation. Il se sent ainsi, d’après nous, mieux épaulé ».

Dématérialisation

« Sur le côté contrat et juridique, détaille le second Alexandre (Sarti) du groupe, on l’a vu d’ailleurs dernièrement en interne à l’école avec la signature électronique de nos conventions de stage, on peut faire aujourd’hui des contrats dématérialisés, il faut juste passer par un cabinet d’avocats ou de juristes pour générer les contrats, en en préparant plusieurs types en amont ».

Death of the paperasse

« On a voulu simplifier au maximum : le demandeur d’emploi a le strict minimum à renseigner, il rentre juste son numéro de sécurité sociale lors de la création de son profil, avec les autres infos basiques (nom, prénom etc.). Du côté employeur, pareil : n° de SIRET et le strict nécessaire. Tout est croisé pendant le « matching » employeur / employé, le contrat se génère automatiquement, ainsi que la feuille de paie. Tout est prévu pour alléger la « paperasse », que l’employeur par exemple n’ait pas à appeler son comptable pour que celui-ci fasse un contrat dans l’heure ».

Retour d’expérience

« C’était génial ce hackathon, on est venu d’ailleurs exprès de Nice, pour travailler avec des personnes d’autres horizons, qui touchent à des choses qui sont vraiment nouvelles pour nous et voir de nouvelles notions. Une expérience au top, on a échangé nos contacts et on ne sait jamais… on a peut-être le contact du futur président ! » (sourires).

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Le trac, un signe annonciateur de succès

« J’avais quelque appréhension, avoue Lionel Brosius, directeur pédagogique régional d’Epitech Strasbourg, un peu le trac devant le choc des cultures représentées par l’ENA d’un côté et nous de l’autre mais le fait est que cela a extrêmement bien pris. Quand on a connu les sujets de ces 3 journées avec Thomas (Cruzol), ma réaction a d’abord été de penser que les étudiants d’Epitech n’allaient pas forcément se les approprier mais globalement, peut-être et sûrement grâce aux énarques, ils ont très bien réagi et ont su prendre à bras le corps ces sujets pourtant pas faciles, complexes ».

Le mot de la fin

C’est à Thomas Cruzol, directeur du développement régional, qu’il revient de conclure : « c’est peut-être par des événements de ce genre qu’on arrivera à faire bouger les lignes même dans ces domaines très formatés que sont les politiques publiques ». On espère en voir plus encore et en tout cas l’an prochain pour une deuxième édition.

Business Week 2017 : la Prep’ETNA en mode start-up

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retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_01.jpgDu 14 au 16 juin 2017, les étudiants de la promotion 2020 de l’ETNA prenaient part à la nouvelle édition de la Business Week de la Prep’ETNA. En 72 heures montre en main, ils devaient affiner le prototype de service numérique commercialisable lié au projet auxquels ils réfléchissent depuis le mois de janvier. Un challenge passionnant qui demandait aux participants d’associer à leurs compétences en informatique des notions de design et de marketing tout en maniant l’art si délicat du pitch !

retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_02.jpgLe matin du premier jour, les étudiants réunis en équipes se voyaient présenter le déroulement de la Business Week, les objectifs à atteindre et les coachs – des startupers comme des professionnels du design – qui allaient les suivre (et les soutenir) durant ce défi entrepreneurial. Une fois les présentations faites, des courtes sessions de pitch (pour entraîner les participants à se montrer convaincant dans la défense de leur concept) et des workshops de plus d’une heure (permettant d’accompagner les étudiants sur la création des affiches) étaient organisés. Une étape initiale capitale qui, en plus de déterminer la réussite des équipes en lice, permettait de découvrir la créativité des étudiants. Application mobile pour faire des graffitis en réalité augmentée dans la ville, meta-plateforme d’investissement dans les cryptos-monnaies ou encore plateforme de crowdfunding solidaire : les 26 idées proposées étaient déjà prometteuses à l’issue de cette première journée.

retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_03.jpgretour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_04.jpgLe deuxième jour rentrait dans le vif du sujet. Orienté essentiellement sur la partie business, il incitait les étudiants à réfléchir à toutes les composantes de leur service numérique, de leur positionnement face à la concurrence au potentiel du marché, en passant par la cible visée et la création d’un business model canvas. Un bon moyen pour les équipes de découvrir un univers qui, pour la plupart, était encore inconnu si ce n’est encore flou. C’est d’ailleurs ce que la Prep’ETNA cherche à faire avec ce genre de challenge, comme le rappelle Raphaëlle Burrow, responsable pédagogique. « Dans le cadre de cette année de Prep’ETNA, les étudiants ont jusqu’au mois de septembre pour réaliser la partie technique de leur projet. Grâce à cette Business Week, ils seront en mesure de se tourner vers des utilisateurs tout en étant capable d’adopter un langage commun, mais également de penser à une opportunité de marché et sa commercialisation ! »

retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_05.jpgretour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_06.jpgEnfin, durant la troisième et dernière journée de cette Business Week, le moment était venu de se lancer dans le grand bain. En matinée, chaque équipe disposait d’un stand dans le grand Open Space de l’école afin de présenter son projet aux étudiants de la promotion 2018 de l’ETNA. L’occasion pour ces derniers de décerner leur coup de cœur, attribué à Jena VR, un escape game utilisant les casques de réalité virtuelle qui a su séduire les étudiants grâce à une démo plus que convaincante. L’après-midi se poursuivait avec l’épreuve la plus redoutée des participants, celle des soutenances devant deux jurys, avec 3 minutes de pitch, 2 minutes de présentation de l’affiche et 5 minutes de questions-réponses. Au final, deux équipes ont su séduire les professionnels : Kimmy, une solution contrôlant la qualité et la propreté du code des développeurs et Event en Ciel, une plateforme qui met en relation ses utilisateurs avec des prestataires afin d’organiser tous types d’événements, des mariages aux anniversaires en passant par les séminaires. Pour découvrir les lauréats et les autres projets, l’école vous donnera rendez-vous en septembre, pour un Forum spécial dédié à la démonstration technique de chacun d’entre eux !

retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_07.jpgL’équipe de Jena VR, coup de coeur des étudiants de la promotion 2018

retour_business_week_prep-etna_ecole_etudiants_projets_concepts_prototypes_pitch_design_marketing_pedagogie_jury_professionels_coaching_08.jpgL’équipe de Kimmy, plébiscitée par le jury

Nouvelle mission réussie pour IDÉES Madagascar

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Permettre à un village d’avoir accès à l’eau potable et à près de 300 élèves d’étudier dans de meilleures conditions, tels étaient les objectifs que les étudiants de l’association IDÉES Madagascar de l’ESME Sudria souhaitaient accomplir à l’occasion de leur campagne 2017. Organisée du 2 juillet au 16 août, cette dernière voyait six étudiants de l’école s’envoler pour l’Océan Indien avec une seule idée en tête : mettre leurs compétences d’ingénieurs au service de cette population avec qui l’association travaille depuis plus de 20 ans. Ils ont été notamment aidés dans leur tâche par l’association TSF Madagascar de l’École Supérieure des Géomètres et Topographes.

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L’équipe de la campagne 2017 était composée de Baptiste Carriere, Lise Chatellier, Daria De Tinguy, Bastien Durand, Joseph Paris et Fabien Prevosteau

À Madagascar, les membres d’IDÉES ont eu fort à faire en menant deux chantiers de front. Le premier concernait la réalisation du premier réseau d’eau portable de Bévilolia, un village qui compte plus de 400 habitants et 80 foyers. Pour cela, les étudiants ont creusé près de 1,5 km de tranchées et installé deux citernes afin de relier quatre nouvelles fontaines aux deux sources d’eau environnantes, l’une située à 700 mètres du village et la seconde à 900 mètres.

retour_mission_campagne_2017_idees_madagascar_association_esme_sudria_etudiants_ingenieurs_reseau_eau_potable_ecole_chantiers_06.jpgretour_mission_campagne_2017_idees_madagascar_association_esme_sudria_etudiants_ingenieurs_reseau_eau_potable_ecole_chantiers_09.jpgretour_mission_campagne_2017_idees_madagascar_association_esme_sudria_etudiants_ingenieurs_reseau_eau_potable_ecole_chantiers_10.jpgLe second chantier portait sur l’agrandissement d’une école de la ville de Lavaina, située à 3 km d’Alakamisy-Ambohimaha qu’IDÉES Madagascar connait bien pour y avoir réalisé plusieurs missions lors de ses campagnes précédentes. L’école, qui accueillait déjà un peu plus de 300 élèves encadrés par 8 professeurs, est désormais équipée d’un tout nouveau bâtiment permettant ainsi aux enfants d’étudier dans de meilleures conditions grâce à de nouvelles salles !

retour_mission_campagne_2017_idees_madagascar_association_esme_sudria_etudiants_ingenieurs_reseau_eau_potable_ecole_chantiers_01.jpgLe chantier de l’école de Lavaina

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À propos d’IDÉES Madagascar :
Depuis sa création en 1994, IDÉES Madagascar a déjà permis à plus d’une trentaine de villages malgaches de s’équiper de réseaux d’eau potable, venant ainsi en aide à près de 13 000 habitants. L’association est également à l’origine de la construction de quatre écoles sur place.

Retrouvez IDÉES Madagascar sur son site Internet, Facebook, LinkedIn et Twitter.

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Les étudiants d’Aero IPSA au C’Space 2017

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Organisé tous les ans par le Centre national d’études spatiales (CNES) et l’association Planète Sciences, le C’Space est l’événement à ne pas manquer pour tous les étudiants férus d’espace et de fusées. Présente chaque année, l’association Aero IPSA n’a pas dérogé à la règle à l’occasion de son édition 2017 qui se déroulait du 15 au 22 juillet sur le camp militaire de Ger du 1er Régiment de Hussards Parachutistes (RHP). Lors de ce rassemblement, les nombreux IPSAliens présents ont pu effectuer le lancement de plusieurs engins qu’ils ont eux-mêmes construits au fil des mois, parfois durant un à deux ans. En tout, l’association a pu faire décoller quatre mini-fusées (ISP, Night-Fury, Rol-Ex et You Screwed) et deux fusées expérimentales (0² et Trident). Retour en images sur ce C’Space 2017 mémorable.






L’équipe d’ISP



L’équipe de Night-Fury


L’équipe d’O²


L’équipe de Rol-Ex


L’équipe de Trident



L’équipe de You Screwed

Découvrez également l’article consacré au C’Space (et aux IPSAliens) publié par La Nouvelle République des Pyrénées.

Retrouvez le C’Space sur FacebookTwitter et sur le site de Planète Sciences

Retrouvez (et contactez) Aero IPSA via Facebook et Twitter

 

 

Le Groupe IONIS au Global Positive Forum

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Sous le haut patronage d’Emmanuel Macron, président de la République, la première édition du Global Positive Forum a réuni, à la Seine Musicale le 1er septembre 2017 les principaux acteurs mondiaux qui, de l’astronaute Thomas Pesquet à Ludovic Le Moan, le CEO Sigfox, sont appelés à accélérer et réussir cette révolution positive dans l’intérêt des générations futures. Avec l’ambition d’« accélérer la révolution positive », une dizaine de projets portés (voir ci-après)  par des étudiants et Anciens des écoles du Groupe IONIS – le seul acteur de l’enseignement supérieur présent à cet événement – a été présentée. Ils ont reçu la visite de Bruno Lemaire, ministre de l’Économie et des Finances, et ont été interrogés par plusieurs média (BFM, Europe 1, RFI, Konbini…). En plus de nombreuses interventions autour de thématiques artistiques, écologiques, économiques, politiques ou encore scientifiques (voir le programme), l’événement a permis à près de 1 200 porteurs d’initiatives de présenter leur vision nouvelle et innovante.

 

Voici les projets portés par des étudiants et Anciens des écoles du Groupe IONIS présentés :

  • Quantifly : un drôle de drone
    Projet de drone anti-pollution utilisant des bactéries et porté par l’équipe inter-écoles iGEM IONIS 2016 dont faisaient partie Alexandre Dollet (Ionis-STM promo 2017), Pierre Couderc (IPSA promo 2019),  Paul-Louis Nech (EPITA promo 2016), Célia Chenebault, Thomas Jaisser, Clément Lapierre, Damien Lassalle, Jessica Matias, Benjamin Piot, Victor Plet, Anthony Renodon, Camille Soucies (Sup’Biotech promo 2017), Raphaël Fourdrilis (Epitech promo 2018) et Alexandra Momal (e-artsup promo 2017 Quantifly a été présenté au MIT à Boston lors de la dernière édition de l’International Genetically Engineered Machine competition (iGEM), la plus grande compétition étudiante dédiée à la biologie de synthèse. Quantifly a permis à son équipe de remporter une médaille d’or.
  • Estimeo : une bonne note pour les business angels
    Cofondée par Adrien Fenech (EPITA promo 2016), son CTO, Estimeo propose un service de notation de startups ainsi qu’une plate-forme de mise en relation entre investisseurs et entrepreneurs. Découvrez plus en détail son histoire dans l’article que lui a consacré l’école.
    Retrouvez Estimeo sur son site InternetFacebookLinkedIn et Twitter.
  • Ephedra VR : un jeu savant et virtuel
    Projet porté par des étudiants de la majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) et hébergé au sein de l’Institut d’Innovation Informatique de l’EPITA (3ie), Ephedra VR est un serious game en réalité virtuelle pour l’apprentissage des étudiants en médecine. Ces derniers sont alors immergés dans un monde virtuel dans lequel ils peuvent interagir et suivre de manière ludique une formation adaptée à leur cursus.
    Retrouvez Ephedra VR sur son site Internet. Suivez les actualités de 3ie sur son site Internet, Facebook et LinkedIn.
  • Quand 3ie met son grain de sel avec Pepper
    Depuis plusieurs mois, Pepper, le célèbre robot de l’entreprise SoftBank Robotics, est devenu un véritable collègue de travail pour les équipes de 3ie. Compagnon capable de communiquer avec vous grâce à une interface intuitive, il a été au centre de plusieurs travaux portés par des chercheurs du laboratoire afin d’être doté d’une certaine autonomie au service de grandes marques.
  • Aéromate : start-up d’agriculture urbaine
    Portée par Michel Desportes (Sup’Biotech promo 2015) et Louise Doulliet (promo 2014), Aéromate est une jeune start-up spécialisée dans la culture d’herbes aromatiques en hydroponie sur les toits de Paris. Passée par l’incubateur IONIS 361, elle fait partie des lauréats de l’appel à projets Parisculteurs réalisé par la Ville de Paris en 2016. Découvrez plus en détail son histoire dans l’article que lui a consacré l’école.
    Retrouvez Aéromate sur son site Internet et Facebook.
  • Helppy : l’accompagnement à la bonne heure
    Développé par un trio composé de Jérémy Harrault (Epitech promo 2017), Benjamin Roux et Mathieu Sanchez (promo 2020), Helppy est une application pour montre connectée pensée pour accompagner les trisomiques 21 dans leur vie quotidienne et les aider à réaliser plus facilement et au bon moment des actions simples (se lever à la bonne heure, ne pas oublier de prendre son petit déjeuner…).
  • Horyus : déceler plus facilement le vrai du faux
    Porté par Matthias Alif, Timour Almazov et Iulian Rotaru (Epitech promo 2020), Horyus utilise la technologie blockchain afin de proposer des solutions décentralisées et sécurisées d’authentification d’objets avec puce NFC permettant de lutter contre la contrefaçon.

  • Witick : le faciliteur de transport
    Application mobile permettant d’acheter et d’utiliser un ticket de transport en commun sur son téléphone, Witick est le projet lauréat des Trophées Epitech Experience 2016. Porté par Romain Combe, Rémi Hillairet et Maxime Lavandier (Epitech promo 2017) et incubé au sein de IONIS 361, il permet à ses utilisateurs d’acheter un titre en 1 clic puis d’approcher leur smartphone à une borne pour le valider. Le contrôle est également dématérialisé.
    Retrouvez Witick sur son site Internet, Facebook, LinkedIn et Twitter. Vous pouvez également lire l’interview de l’un des fondateurs, Romain Combe, dans le Business Insider et le Smart City Mag.

 

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